Le dernier jour de la fête, qui en est le jour le plus solennel, Jésus, debout, dit à haute voix: "Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, de son sein, comme dit l'Ecriture, couleront des fleuves d'eau vive."
Il disait cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croient en lui; car l'Esprit n'était pas encore donné, parce que Jésus n'avait pas encore été glorifié.
Parmi la foule, quelques-uns, qui avaient entendu ces paroles, disaient: "C'est vraiment le prophète." D'autres: "C'est le Christ." "Mais, disaient les autres, est-ce de la Galilée que doit venir le Christ? L'Écriture ne dit-elle pas que c'est de la race de David, et du bourg de Bethléem, où était David, que le Christ doit venir?" C'est ainsi que le peuple était partagé à son sujet.
Tu es le fleuve qui coule du Temple,
RépondreSupprimerDe ton sein, l’eau vive nous abreuve
Par ton corps transpercé, Tu étanches notre soif,
Ton amour immense nous submerge,
Il est plus au-delà de nos rêves…plus grand que nos désirs,
Auprès de tes verts pâturages,
Tu nous conduis par la main…